A) Les secteurs productifs
Chaque douleur évitée. Mais dans certaines circonstances et en raison des revendications du devoir ou des obligations hors des affaires, il arrivera fréquemment que les plaisirs doivent être répudiés.
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1) Agriculture Principale activité des populations, l’agriculture occupe 32% des ménages. Ce pourcentage varie selon les quartiers. L’économie communale est dépendante de l’agriculture irriguée et de l’élevage qui concentre plus de 90% des emplois urbains. L’agriculture est pratiquée sous 3 formes : - la culture irriguée - la culture de décrue - la culture sous pluie. La commune de Ndioum dispose d’un périmètre cultural estimé à 1225,53 hectares dont 795,53 ha sont destinés à la culture irriguée, 50 ha aux cultures pluviales, 20 ha aux cultures de décrue, 110 ha à l’arboriculture et 250 ha aux cultures maraichères. Tous les types d’exploitation y sont confondues (privées, individuelles, Périmètre villageois). Cette situation cache bien tout le potentiel qui existe et qui n’est pas encore exploité. L’essentiel de l’activité se déroule dans la cuvette de Ndioum aménagée en 1990. Sur une superficie de 655 ha organisés en GIE et unions, les producteurs s’adonnent principalement à la riziculture. Cette activité bénéficie de l’appui conseil de la SAED et du financement de la CNCAS. Outre la riziculture, les populations locales pratiquent le maraichage avec l’oignon, le gombo et la tomate en contre saison. La répartition des terres est une situation un peu complexe. Au niveau des cuvettes l’attribution se fait par UTH (Unité de Travail Humain), par âge, et par sexe ainsi qu’au niveau des PIV. Au niveau des PIP l’attribution se fait par famille, cela est valable aussi pour les champs de culture le long des berges. Il y a des exploitants natifs de la localité et des exploitants non natifs mais très faible en nombre. Il existe effectivement des terres de Ndioum à Gamadji mais aussi à Guédé chantier. Il n’y a pas de difficultés techniques majeures grâce à la présence des services d’intervention comme la SAED, PIP etc. les paysans sont bien outillés mais ils sont endettés et exploitent de faibles superficies rizicoles qui ne favorisent pas le développement de l’entreprenariat familiale. A cause des changements climatiques, des vagues de chaleur et de fraicheur viennent à des moments inopportuns. En période de crue les cuvettes sont submergées d’eau, d’autre part il y a la rareté des pluies ces dernières années. En plus de la culture irriguée, la population pratique aussi la culture de décrue et la culture sous pluie. Aujourd’hui, si les projets prévus dans le cadre du PRACAS et autres sont accompagnés de réalisations de pistes de désenclavement surtout entre Ndioum -Halwar et Ndioum-Ngayaye, d’une promotion des filières à haute valeur ajoutée (riz, tomate), Ndioum serait une commune à forte production agricole avec des opportunités de création de plusieurs emplois décents et durables
Le système le plus répandu est le système extensif où les animaux vont à la recherche permanente du pâturage et des points d’eau. Il est caractérisé par la taille importante du cheptel (souvent en dehors du périmètre communal). Les principales espèces concernées par ce système sont les bovins et les ovins. IL est pratiqué dans la zone du Diéri, principalement dans les communes voisines de Gamadji Sarré, de Guédé Village et de Dodel. L’élevage de petits ruminants (moutons, chèvres) est pratiqué chez les habitants. Cependant certains possèdent des troupeaux de bœufs dans la ville et dans la zone du diéri, en dehors du territoire communal. L’élevage équin demeure important et intéresse presque la majeure partie des familles (travaux champêtres et transport urbain).L’enclavement des zones du Diéri et du Walo est une contrainte majeure pour accéder aux aliments de bétails et aux soins vétérinaires. Il faut également souligner les feux de brousse récurrents dus au faible maillage de la zone Diéri en pares feux et la transhumance due à la baisse de la pluviométrie et enfin le vol de bétail qui devient de plus en plus inquiétant. En outre, Il n’existe pas dans la commune de structures professionnelles regroupant les éleveurs.Les changements climatiques ont aussi contribué dans le frein au
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